Il y va, là où Ivoire vit, là-bas, au loin dans l’au-delà.
Sur le chemin il savoure le temps restant, lui, quelque part c’est un résistant.
Il vrille sans penser à s’épancher vers les étendues.
Alors qu’elles le poursuivent comme un cycle d’assaillants, revenant et revenant.
Il faut lui laisser un peu d’instant pour le vouloir.
Aide, aidez, aidons nous, aidons les
Puisque au fond du gouffre le souffle sait s’immiscer entre les doigts de ceux qui sont froids.
Gwendoline Gerberon